Grandeur et décadence by Paris Violence Lyrics

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Grandeur et décadence fr Lyrics [Paris Violence]
Grandeur et décadence French Lyrics Album Mourir en Novembre

Quote from the song “Grandeur et décadence” by Paris Violence


Toujours hystéro-pathétique
Moins besoin d’affection que de fric
La pluie trempe mon bomber kaki
Centre commercial Place d’Italie
Le vent se lève sur Tolbiac
Circuits kaput, neurones en vrac
Et les grands immeubles s’allument
En se reflétant sur le bitume

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Grandeur et décadence lyrics [Paris Violence]

Paris Violence: Grandeur et décadence Lyrics






Perfect Lyrics of the Song “Grandeur et décadence” Released in 2000

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[Couplet 1]

Toujours hystéro-pathétique
Moins besoin d’affection que de fric
La pluie trempe mon bomber kaki
Centre commercial Place d’Italie
Le vent se lève sur Tolbiac
Circuits kaput, neurones en vrac
Et les grands immeubles s’allument
En se reflétant sur le bitume

[Refrain]

Et l’horizon se bouche encore
Sur une tragédie sans décor
Dans une époque sans grandeur
Qu’on étrangle dans sa torpeur
Toujours le même mal du siècle
Les mêmes soupirs dans les règles
Les mêmes regards résignés
Devant les empires effondrés

[Couplet 2]

Je redescends l’Avenue des Gobelins
Il gèle putain, quel temps de chien
Les cons heureux sortent du cinoche
Et leur parapluie se fout en torche
Lumière blanche des réverbères
Derrière les fenêtres, les télés s’éclairent
Et je regarde les halls des immeubles
De soir en soir toujours plus seul

[Refrain]

Et l’horizon se bouche encore
Sur une tragédie sans décor
Dans une époque sans grandeur
Qu’on étrangle dans sa torpeur
Toujours le même mal du siècle
Les mêmes soupirs dans les règles
Les mêmes regards résignés
Devant les empires effondrés

[Couplet 3]

Pile de boulot sur le bureau
Et toujours le moral à zéro
Le regard noyé dans le gris
Un peu de haine, tant de mépris
Lugubre fin de millénaire
Une tourmente sans lumière
Pas de salut en temps si durs
Naufrage des siècles obscurs

[Refrain]

Et l’horizon se bouche encore
Sur une tragédie sans décor
Dans une époque sans grandeur
Qu’on étrangle dans sa torpeur
Toujours le même mal du siècle
Les mêmes soupirs dans les règles
Les mêmes regards résignés
Devant les empires effondrés